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NOUVEAUTES

ICI  LES NOUVEAUTES

21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 08:52

 

 

 

Nourrir bébé et maman est une phase de la vie complexe, délicate et pleine de surprise par manque de connaissances. L’alternative bio-végétale est une solution pour pallier et éviter les intolérances alimentaires de la petite enfance.

 

Les laits maternisés au lait de vache entraînent obligatoirement des intolérances alimentaires plus ou moins importants :

-         Problèmes cutanés,

-         Problèmes intestinaux,

-         Problèmes digestifs,

-         Problèmes respiratoires (nez,oreilles, gorges),

-         Problèmes de réactions auto-immunes…

 

Les causes des inconvénients du lait de vache

 

Le lait est conçu par les mères pour leurs nourrissons par chaque espèce animale. Les laits présentent des compositions en cellulose, protéines, lipides, lipides, minéraux et vitamines qui sont spécifiques de chaque espèce. Le lait de femme est très différent du lait de vache, de chèvre ou de brebis.

 

Pour le développement du bébé, comme pour santé de l’adulte, le lait de vache apparaît loin d’être satisfaisant, ses protéines sont les plus allergisantes de tous les aliments et il comprend plus d’acides gras saturés et moins de polyinsaturés, plus de phosphore et beaucoup moins de vitamines C que le lait de femme.

 

Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule chimique.

Le système digestif est également très différent selon l’espèce : l’estomac du veau secrète de la caillette et celui du bébé de la présure (réninine) pour pouvoir digérer leur laits respectifs.

On constate que la caillette du veau est 100 fois plus puissante et active que la présure du nourrisson car les molécules constituant le lait de vache sont nettement plus grosses que celles du lait maternel. C’est donc un  effort considérable que nous demandons au foie de bébé (au notre aussi d’ailleurs quand nous consommons des produits laitiers) pour dégrader une trop grosse molécule d’origine animale.

 

Par son acide butyrique corrosif pour l’être humain à la longue, mais nécessaire pour le veau, le lait a une action néfaste sur le plan hépatique responsable de « crises de foie », d’infections, de maux de tête, de rhumatismes.

 

Le coagulum albumineux du lait de femme (ainsi que de jument et d’anesse) est très digeste. Le lait de vache pose des problèmes par sa teneur en caséine et surtout dans l’équilibre de ses nutriments : trop riche en Acides gras et acide lactique.

 

Ne jamais donner à un enfant de moins de un an du lait de vache pur car risques très important d’hémorragies intestinales, allergie, anémie. Après un an il potentialise les douleurs abdominales chroniques, infections, artériosclérose, cataractes, problèmes psychologiques…

L’acide butyrique contenu dans le lait de vache, le beurre et le fromage, attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront ainsi être digérés. Cela équivaut à une « surdigestion » des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit de 1kg par jour pendant 6 mois mais qui au-delà de cet âge ne se nourrira que de végétaux.

 

Présence dans le lait de vache de substances cancérigènes : résidus pesticides, éléments radioactifs, nitrates, hormones de croissance…

 

Lors du passage de l’allaitement maternel à l’allaitement artificiel avec des laits maternisés à base de lait de vache, il y a décoloration des selles et des urines, nausées, régurgitations, vomissements, problèmes d’élimination.

 

La fréquence des infections est plus élevée car les acides gras du lait de vache rendent les parois  du colon perméable aux bactéries qui s’y trouvent. Elles passent dans le sang et se fixent dans les lieux de moindre résistance ce qui entraîne une inflammation chronique, voire des maladies dégénératives.

 

L’ingestion du lait de vache chez le bébé très sensible  (mais aussi chez l’enfant et l’adulte) provoquera des infections intestinales incluant des diarrhées de type eschérichia-coli et autres entérovirus (également mycoses et cystites). Au contraire le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d’une sécrétion d’immunoglobuline et de facteurs bifidus.

 

Le code génétique humain est inadapté : l’information de croissance pour le petit être humain est 7 à 8 kg pour 6 mois, alors qu’elle est de 500 kg pour le veau au même âge.

 

On remarque dès le plus jeune âge des problèmes liés à la consommation du lait de vache (amélioration nette dès l’arrêt complet de cet aliment) : Inflammation touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, rhumes, otites, angines…)

 

 

Solutions pour éviter la consommation des laits maternisés

 

On le comprendra, la préférence va de toute évidence vers l’allaitement maternel qui est irremplaçable. Le lait maternel correspond aux besoins spécifiques de chaque nourrisson.

Il est judicieux de supplémenter l’alimentation de la maman qui allaite en acides polyinsaturés sous forme d’huile d’onagre, de bourache, d’huile de foie de morue et de consommer des vitamines A, C, B6, B9, B12, du zinc que l’on trouve de manière privilégiée dans les graines germées et sa spiruline, par exemple.

 

Cependant, Il existe des aliments de substitution pour pallier à l’absence ou à l’insuffisance d’allaitement maternel. :

Les laits bio-végétaux dont les caractéristiques sont d’être proches du lait maternel. Ils doivent  contenir de bonnes protéines végétales assimilables, de bons sucres simples, du maltose, des fibres, etc… Un bon équilibre phosphocalcique, une excellente biodisponibilité du calcium, une bonne digestibilité et une excellente assimilation des nutriments. Ils ne doivent pas contenir de lactose, de cholestérol, de gluten et être sans addiction de sucre et de sel.

Ils peuvent être utilisés dès la naissance en l’absence d’allaitement maternel. Leurs saveurs sont franches, délicate.

L’alimentation bio-végétale se compose de laits végétaux, céréales germées moulues, de purée d’amandes, d’huiles riches en acides gras essentiels et des purées de légumes bio maison, de jus de légumes et pulpes de fruits. La courbe de croissance témoigne du bon équilibre.

 

Pour plus de renseignements et pour trouver les produits idéaux, vous pouvez aller dans les magasins bio.

 

 

 

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commentaires

C
It’s a true fact that feeding baby and mom is a phase of the complex and need delicate and full of surprises for lack of knowledge life. The skin of the babies is so soft so more care is needed. Really great post nice work.
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